Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

Le roman Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes adapté au théatre et surtitré en français à la Schaubühne.

Metteur en scène : Thomas Ostermeier

Scène A

Dans une version de Florian Borchmeyer, Bettina Ehrlich et Thomas Ostermeier

Traduit du français par Claudia Steinitz

Les choses vont remarquablement mal pour Vernon Subutex. Ancien propriétaire d’un magasin de disques réputé dans tout Paris, dont la clientèle allait de la scène rock à la bourgeoisie branchée, et qui était idolâtré par les groupies féminines, à l’heure du partage de fichiers numériques et des services de streaming, Vernon perd d’abord son magasin, puis, après une tentative ratée de vente en ligne, tout son travail. Pire encore : sa raison d’être. En tant que dinosaure de l’ère analogique, il s’enterre pendant des années avec des packs de six et des séries télévisées dans son appartement qu’il ne peut se permettre qu’avec l’aide de son ancien compagnon de groupe – le désormais légendaire chanteur Alex Bleach. Lorsque ce dernier meurt prématurément en tant que pop-star, Vernon perd son dernier point d’appui financier. Il se retrouve à la rue et commence une odyssée de couch-surfing avec de vieux amis et amants et, par conséquent, un voyage dans les profondeurs d’une société totalement incertaine qui se caractérise par la division, l’inégalité et l’abandon social – jusqu’à ce que, finalement, il devienne vraiment sans ressources à Paris. Qu’il s’agisse d’un scénariste malchanceux, d’un ancien punk devenu bigot d’extrême droite, d’un musulman libéral dont la fille est fondamentaliste, d’une ex-star du porno féministe, d’une super-renifleuse spécialisée dans le cyber-harcèlement, d’un groupe de voyous fascistes ou de machos des cités, l’écrivain et cinéaste française Virginie Despentes crée, par des changements de perspective saisissants, une éblouissante galerie de personnages couvrant plusieurs générations, classes sociales, identités de genre et orientations politiques. Le premier volet de sa trilogie sur Vernon Subutex est à la fois un tour de force sur les thèmes de notre époque et un panorama social fascinant. Après « Retour à Reims » et « Histoire de la violence », Thomas Ostermeier se consacre à nouveau aux contrastes d’un présent de plus en plus polarisé et brutalisé sous la forme d’une adaptation d’un texte en prose français contemporain.

The Unhomely au KW Institute for Contemporary Art est la première exposition individuelle institutionnelle de l’artiste française Atiéna R. Kilfa.

En utilisant la photographie, la sculpture, la vidéo et l’installation, Kilfa explore la collision et le chevauchement entre la mémoire personnelle et la mémoire culturelle. Les travaux actuels de Kilfa suivent son intérêt pour la création de maquettes, de dioramas, de natures mortes et de tableaux vivants, qu’elle considère comme des supports de narrations traditionnelles et de normes sociales et qu’elle met en débat pour une révision collective.

KW Institute for Contemporary Art
KUNST-WERKE BERLIN e. V.
Auguststraße 69
10117 Berlin

Vernissage le 19 octobre 2022 à 19h00.

La dernière exposition du cycle des Vitrines 2022 présente le travail d’AFFG.

AFFG
est un duo d’artistes françaises, composé d’Aurélie Ferruel (née en
1988) et de Florentine Guédon (née en 1990), qui travaillent ensemble la
sculpture et la performance depuis une dizaine d’années. Avec des
accents ruraux, leurs œuvres réalisées à partir de foin, de terre, de
vermine et de bois servent de terreau à la construction d’installations
fantasques et organiques où germent des narrations sur textile brodé et
des formes molles soufflées en verre translucide. De la rencontre et de
l’échange naissent des processus de création communs, où les égos de
chacune s’effacent au profit d’œuvres collectives. Sans atelier partagé,
elles travaillent leur spécialité de leur côté avant de se dévoiler
leurs offrandes et de les réunir.

Nourri
par les rites populaires et les savoir-faire régionaux, leur travail
s’appuie sur des traditions ancestrales qu’elles tentent de dépasser. En
s’affranchissant des héritages avec humour, spontanéité et sens
critique, elles donnent à voir un monde imaginaire construit à partir de
matériaux vivants dans une économie de moyens. À l’image des Furtifs
d’Alain Damasio, elles ré-enchantent un lien rompu entre la terre,
l’autre et soi à travers un répertoire de formes revitalisées tantôt
attendrissantes, drôles ou repoussantes qui nous reconnectent à
l’énergie de la vie et aux saisons de la terre.

Pour Les
Vitrines de l’Institut Français de Berlin, le duo s’interroge sur le
rôle de la vitrine. Espace sacré, muséal, commercial, espace de
protection, de tentation, de conservation. Les réflexions d’AFFG
explorent la place d’un monde vivant mis sous cloche, privé de son
évolution naturelle. La scénographie imaginée questionne notre lien
sensoriel à l’heure de toutes les crises et dépoussière l’espace
traditionnel de la vitrine pour devenir le théâtre de nouvelles
fabulations.

Institut français Berlin

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

Thomas Schmahl (Reims, France) a été sélectionné dans le cadre du programme de résidence AZ – ALLER & ZURÜCK pour une résidence de 4 mois au Künstlerhaus Bethanien à Berlin. Dans le cadre de son exposition « Backing vocals » – du 29 septembre au 23 octobre – l’artiste français présente trois ateliers sonores et de l’art du bruit.

– Mercredi 12 octobre, de 15h à 17h, pour les enfants (à partir de 6 ans).

– Jeudi 13 octobre, de 18 à 21 heures, pour tous (à partir de 16 ans).

– Samedi 15 octobre, de 14 à 17 heures, pour tous (à partir de 16 ans).

Les participant·es se plongeront dans de nouveaux univers sonores, reprendront du matériel sonore original pour inventer eux·elles-mêmes des récits (storytelling), des ambiances (field recording) ou des sons. Tous les bruits acquièrent ainsi une importance et une fonction !

Les ateliers se dérouleront dans l’atelier et l’espace d’exposition de Thomas Schmahl au Künstlerhaus Bethanien (Kottbusser Str. 10/d, 10999 Berlin). Ils se dérouleront dans un mélange de bruits et de langues (anglais, allemand, français), en fonction du public présent. Et ce sera gratuit !

Vous voulez participer ? Rien de plus facile ! Envoyez un e-mail à info-strasbourg@goethe.de ! Attention, le nombre de participants est limité, les inscriptions seront prises en compte dans leur ordre d’arrivée !

Découvrez le travail de Thomas Schmahl sur Instagram @thomasschmahl

La médiathèque de l’Institut Français de Berlin a le plaisir de vous inviter à son temps fort annuel consacré aux livres animés : livres pop-up, livres carrousels, livres à volets, livres tunnel, livres accordéons ou bien encore livres à tirettes.

Le vernissage de l’exposition aura lieu le 1er octobre à 17h30 dans la Galerie Alice Guy de l’Institut Français (entrée libre).

L’Exposition Pop-up Circus présente de nombreux livres Pop-up anciens autour du cirque, des panneaux sur l’histoire du livre animé, un musée virtuel, des Pop-up désolidarisés, des créations personnelles autour des livres animés (carrousels, dioramas…), un jeu d’ombro cinéma, une projection en continue du film documentaire „La face cachée du Pop-up“.

Eintritt:

Eintritt frei

Institut français Berlin

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

Deutschland

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

Les rencontres franco-allemandes de l’emploi et de l’accompagnement professionnel à Berlin – Entrée gratuite

Envie de (venir) travailler et de développer vos talents à Berlin ? 

Envie d’avoir une meilleure connaissance de Berlin et de ses opportunités professionnelles ? 

Envie de rencontrer des acteurs francophones de l’emploi et de l’accompagnement professionnel ? 

Notre
association Emploi Allemagne réunit son réseau de partenaires pour vous
offrir une journée de rencontres, d’informations, d’impulsions avec des
experts (entreprises françaises et allemandes, associations, coachs,
mentors…) afin de vous donner les meilleures chances de vous épanouir
professionnellement à Berlin et en Allemagne. 

=> Les rencontres ont lieu au Centre Français de Berlin, Müllerstrasse 74, 13 349 Berlin (arrêt U6 Rehberge).

Vous ne pouvez pas venir le 25 novembre à Berlin et le contenu des conférences vous intéresse ? 

Nous mettons à votre disposition un lien streaming pour les conférences (matin et après-midi). 

INSCRIPTION => OSONSBERLIN.EVENTBRITE.FR

___________________________________

Le concept de « Osons l’emploi » 

C’est un réseau d’entraide franco-allemand autour des thèmes de l’emploi et de l’accompagnement professionnel.

C’est un réseau d’experts pour vous apporter des outils concrets et pour faciliter votre intégration professionnelle.

Dans ce réseau d’entraide, nous trouvons des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF), des représentants d’entreprises à Berlin, des organismes qui proposent de l’accompagnement professionnel comme Minor Kontor, Jobpoint, Bema ou bien de l’information comme la EU-Gleichbehandlungsstelle, des centres de conseils (AWO Schöneberg), des associations (les Nouvelles voix, Emploi Allemagne), des coachs professionnels, des recruteurs ou responsables RH (Eurorekruteur)… et plein d’autres encore.

Cet événement est soutenu par la Maison des Francophonies. Nos amis Francophones sont les bienvenus à cette journée.

« Que
vous soyez en recherche d’emploi, en reconversion professionnelle ou
bien en train de développer votre réseau professionnel, vous êtes toutes
et tous les bienvenu.e.s » 

Cette journée est une
opportunité de vous aider dans vos recherches d’emploi et/ou dans la
construction de votre projet professionnel. 

Nous vous proposons
des conférences (en streaming), des workshops, du networking, les stands
de nos partenaires et un jobboard. Tout cela dans une ambiance
bienveillante et de partage.

Cet évènement est
rendu possible par le soutien de l’Ambassade de France à Berlin et de
ses services (service économique, service des affaires sociales et de la
section consulaire).

« Il y a au moins une chose que l’on peut
dire avec certitude d’un écrivain et de son œuvre : tous deux marchent
ensemble dans le labyrinthe le plus parfait que l’on puisse imaginer, un
long chemin circulaire où leur but et leur point de départ se
confondent : la solitude ». C’est ainsi que commence « La mémoire la plus
secrète des hommes », le fulgurant roman de Mohamed Mbougar Sarr,
récompensé par le Prix Goncourt. Il raconte l’histoire du jeune
Sénégalais Diégane et de sa quête d’un auteur énigmatique du nom de T.C.
Elimane, entré dans la clandestinité dans les années 1930 après avoir
été victime d’hostilité raciale et d’un scandale. Un polar littéraire
dont le processus de traduction est mis en scène par Holger Fock et
Sabine Müller avec une exposition de matériaux collectés ensemble dans
leur journal TOLEDO – notamment sur les structures colonialistes qui
sous-tendent cette recherche de traces à l’échelle mondiale. Pour finir,
des bonus tracks vous attendent, y compris des morceaux de musique en
rapport avec le livre.

La maison d’édition Carl Hanser Verlag vous invite à une petite réception.

En collaboration avec le programme TOLEDO du Deutscher Übersetzerfonds, avec l’aimable soutien de l’Institut français d’Allemagne.

Literarisches Colloquium Berlin
Am Sandwerder 5 – 14109 Berlin

Entrée : 8 € / 5 €.

Livestream gratuit : www.lcb.de

Chaque année, le Frankreichzentrum de la Freie Universität, en coopération avec l’Institut français de Berlin, consacre un débat à la rentrée littéraire en France. Ulrike Schneider, professeur de littérature française et italienne (FU Berlin) et Jürgen Ritte, professeur d’études allemandes (Université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle) s’entretiennent avec des intervenants différents sur les nouvelles parutions remarquables, les politiques d’attribution des prix et les tendances actuelles et durables de la littérature française contemporaine. Cette année, nous avons le plaisir d’accueillir Annette Wassermann, lectrice de littérature française aux éditions Klaus Wagenbach.

Dans le cadre du troisième concert du « cycle des midis musicaux », nous accueillons la chanteuse française Aïda Telhine (soprano).

Le concert d’Aïda Telhine fait partie d’une série de concerts consacrés aux chanteuses d’opéra.

Aïda Telhine a commencé sa formation lyrique à Paris. En 2017, elle a chanté avec le chœur et l’orchestre Note et Bien de Paris. En 2018 et 2019, elle a chanté en tant que soliste pour le Chœur de Saint-Germain-des-Prés. Elle suit actuellement ses études de bachelor avec le professeur Ewa Wolak à la Hochschule für Musik Hanns Eisler Berlin.

Inscription nécessaire.

Eintritt:

15€

Ermäßigter Preis:

10€

Maison de France – Salle Boris Vian

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

The Unhomely au KW Institute for Contemporary Art est la première exposition individuelle institutionnelle de l’artiste française Atiéna R. Kilfa.

En utilisant la photographie, la sculpture, la vidéo et l’installation, Kilfa explore la collision et le chevauchement entre la mémoire personnelle et la mémoire culturelle. Les travaux actuels de Kilfa suivent son intérêt pour la création de maquettes, de dioramas, de natures mortes et de tableaux vivants, qu’elle considère comme des supports de narrations traditionnelles et de normes sociales et qu’elle met en débat pour une révision collective.

KW Institute for Contemporary Art
KUNST-WERKE BERLIN e. V.
Auguststraße 69
10117 Berlin

Vernissage le 19 octobre 2022 à 19h00.

La dernière exposition du cycle des Vitrines 2022 présente le travail d’AFFG.

AFFG
est un duo d’artistes françaises, composé d’Aurélie Ferruel (née en
1988) et de Florentine Guédon (née en 1990), qui travaillent ensemble la
sculpture et la performance depuis une dizaine d’années. Avec des
accents ruraux, leurs œuvres réalisées à partir de foin, de terre, de
vermine et de bois servent de terreau à la construction d’installations
fantasques et organiques où germent des narrations sur textile brodé et
des formes molles soufflées en verre translucide. De la rencontre et de
l’échange naissent des processus de création communs, où les égos de
chacune s’effacent au profit d’œuvres collectives. Sans atelier partagé,
elles travaillent leur spécialité de leur côté avant de se dévoiler
leurs offrandes et de les réunir.

Nourri
par les rites populaires et les savoir-faire régionaux, leur travail
s’appuie sur des traditions ancestrales qu’elles tentent de dépasser. En
s’affranchissant des héritages avec humour, spontanéité et sens
critique, elles donnent à voir un monde imaginaire construit à partir de
matériaux vivants dans une économie de moyens. À l’image des Furtifs
d’Alain Damasio, elles ré-enchantent un lien rompu entre la terre,
l’autre et soi à travers un répertoire de formes revitalisées tantôt
attendrissantes, drôles ou repoussantes qui nous reconnectent à
l’énergie de la vie et aux saisons de la terre.

Pour Les
Vitrines de l’Institut Français de Berlin, le duo s’interroge sur le
rôle de la vitrine. Espace sacré, muséal, commercial, espace de
protection, de tentation, de conservation. Les réflexions d’AFFG
explorent la place d’un monde vivant mis sous cloche, privé de son
évolution naturelle. La scénographie imaginée questionne notre lien
sensoriel à l’heure de toutes les crises et dépoussière l’espace
traditionnel de la vitrine pour devenir le théâtre de nouvelles
fabulations.

Institut français Berlin

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

Le Petit Rayon Magique de Fred Bigot et Christophe Alline revient à Berlin avec Pe Ti Pa, leur dernier spectacle musical et graphique avec plein de nouvelles chansons pop-électro pour les petits et les moins petits.

Les deux artistes s’en donnent à cœur joie pour triturer nos chansons d’enfance et nous transporter sur des îles imaginaires et réelles. Ils chantent, jouent de la guitare et d’autres petits instruments bizarres, parfois dansent, accompagnés de dessins et d’images pleines d’humour et de poésie…

Sur réservation : mediathek.berlin@institutfrancais.de

7€ par enfant / 10€ par adulte

Salle Boris Vian

Pendant 1h30, Emmanuelle Fontaine vous présentera sa lecture de 5 ouvrages écrits par des auteurs français berlinois de cœur : Berlinoise de Wilfried N’Sondé, 2015 – L’île aux musées de Cécile Wasjbrot, 2008 – Mélancolie vandale : roman rose de Jean-Yves Cendrey, 2012 – Thésée et sa vie nouvelle de Camille de Toledo, 2020 – La robre de Hannah, 2004-2014 de Pascale Hugues, 2014.

Chacun pourra également venir présenter ses lectures des mêmes auteurs. N’hésitez pas à venir spontanément même sans avoir de livres à présenter !

The Unhomely au KW Institute for Contemporary Art est la première exposition individuelle institutionnelle de l’artiste française Atiéna R. Kilfa.

En utilisant la photographie, la sculpture, la vidéo et l’installation, Kilfa explore la collision et le chevauchement entre la mémoire personnelle et la mémoire culturelle. Les travaux actuels de Kilfa suivent son intérêt pour la création de maquettes, de dioramas, de natures mortes et de tableaux vivants, qu’elle considère comme des supports de narrations traditionnelles et de normes sociales et qu’elle met en débat pour une révision collective.

KW Institute for Contemporary Art
KUNST-WERKE BERLIN e. V.
Auguststraße 69
10117 Berlin

Vernissage le 19 octobre 2022 à 19h00.

La dernière exposition du cycle des Vitrines 2022 présente le travail d’AFFG.

AFFG
est un duo d’artistes françaises, composé d’Aurélie Ferruel (née en
1988) et de Florentine Guédon (née en 1990), qui travaillent ensemble la
sculpture et la performance depuis une dizaine d’années. Avec des
accents ruraux, leurs œuvres réalisées à partir de foin, de terre, de
vermine et de bois servent de terreau à la construction d’installations
fantasques et organiques où germent des narrations sur textile brodé et
des formes molles soufflées en verre translucide. De la rencontre et de
l’échange naissent des processus de création communs, où les égos de
chacune s’effacent au profit d’œuvres collectives. Sans atelier partagé,
elles travaillent leur spécialité de leur côté avant de se dévoiler
leurs offrandes et de les réunir.

Nourri
par les rites populaires et les savoir-faire régionaux, leur travail
s’appuie sur des traditions ancestrales qu’elles tentent de dépasser. En
s’affranchissant des héritages avec humour, spontanéité et sens
critique, elles donnent à voir un monde imaginaire construit à partir de
matériaux vivants dans une économie de moyens. À l’image des Furtifs
d’Alain Damasio, elles ré-enchantent un lien rompu entre la terre,
l’autre et soi à travers un répertoire de formes revitalisées tantôt
attendrissantes, drôles ou repoussantes qui nous reconnectent à
l’énergie de la vie et aux saisons de la terre.

Pour Les
Vitrines de l’Institut Français de Berlin, le duo s’interroge sur le
rôle de la vitrine. Espace sacré, muséal, commercial, espace de
protection, de tentation, de conservation. Les réflexions d’AFFG
explorent la place d’un monde vivant mis sous cloche, privé de son
évolution naturelle. La scénographie imaginée questionne notre lien
sensoriel à l’heure de toutes les crises et dépoussière l’espace
traditionnel de la vitrine pour devenir le théâtre de nouvelles
fabulations.

Institut français Berlin

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.

À l’occasion de la journée franco-allemande et du 60ème anniversaire du traité de l’Élysée, l’Institut français de Berlin et ses partenaires Campus France et le Bureau de la coopération linguistique et éducative de l’Ambassade de France en Allemagne, s’associent pour proposer un programme célébrant l’amitié franco-allemande, vendredi 27 janvier 2023 dans la salle Boris Vian à la Maison de France.

L’après-midi s’organise en deux parties. Dans un premier temps, des ateliers organisés par Campus France présentant les études en France, les projets de mobilité (avec entre autres l’Université franco-allemande et l’OFAJ) et des témoignages d’anciens participants. Dans un second temps, nous vous invitons à assister à une rencontre entre la journaliste d’ARTE Annette Gerlach et le comédien Alfons.

Les deux personnalités évoqueront leur vision du pays où ils sont installés depuis de longues années et les enjeux qu’ils perçoivent pour l’avenir de l’amitié franco-allemande !

Programme :

15h00 – Accueil des étudiants et ateliers Campus France (salle Boris Vian/Maison de France)

16h30 – Début de la rencontre

18h00 – Réception de l’amitié franco-allemande

Inscription via le formulaire suivant : https://www.institutfrancais.de/form/deutsch-franzoesischer-tag-engag

Focus : Prix PREMIERE

Emmanuellle Fontaine vous invite à un cercle de lecture en français. 
Elle vous présentera les trois livres sélectionnés pour le Prix PREMIERE, le prix du public.

Vous pouvez voter pour votre livre préféré jusqu’au 23 avril.

Lien pour voter jusqu’au 23 avril 2023 : https://www.institutfrancais.de/prix-premiere#:~:text=Chaque année est presque 1000,fois traduite en françaisü.

sont nominés pour la 3e édition du prix PREMIERE.

    – Ultramarines de Mariette Navarro
– Le roman de Jim de Pierric Bailly
– Aussi riche que le roi d’Abigail Assor

Chacun peut également présenter ses lectures du même auteur. N’hésitez pas à venir spontanément, même si vous n’avez pas de livres à présenter !

Entrée libre

The Unhomely au KW Institute for Contemporary Art est la première exposition individuelle institutionnelle de l’artiste française Atiéna R. Kilfa.

En utilisant la photographie, la sculpture, la vidéo et l’installation, Kilfa explore la collision et le chevauchement entre la mémoire personnelle et la mémoire culturelle. Les travaux actuels de Kilfa suivent son intérêt pour la création de maquettes, de dioramas, de natures mortes et de tableaux vivants, qu’elle considère comme des supports de narrations traditionnelles et de normes sociales et qu’elle met en débat pour une révision collective.

KW Institute for Contemporary Art
KUNST-WERKE BERLIN e. V.
Auguststraße 69
10117 Berlin

Vernissage le 19 octobre 2022 à 19h00.

La dernière exposition du cycle des Vitrines 2022 présente le travail d’AFFG.

AFFG
est un duo d’artistes françaises, composé d’Aurélie Ferruel (née en
1988) et de Florentine Guédon (née en 1990), qui travaillent ensemble la
sculpture et la performance depuis une dizaine d’années. Avec des
accents ruraux, leurs œuvres réalisées à partir de foin, de terre, de
vermine et de bois servent de terreau à la construction d’installations
fantasques et organiques où germent des narrations sur textile brodé et
des formes molles soufflées en verre translucide. De la rencontre et de
l’échange naissent des processus de création communs, où les égos de
chacune s’effacent au profit d’œuvres collectives. Sans atelier partagé,
elles travaillent leur spécialité de leur côté avant de se dévoiler
leurs offrandes et de les réunir.

Nourri
par les rites populaires et les savoir-faire régionaux, leur travail
s’appuie sur des traditions ancestrales qu’elles tentent de dépasser. En
s’affranchissant des héritages avec humour, spontanéité et sens
critique, elles donnent à voir un monde imaginaire construit à partir de
matériaux vivants dans une économie de moyens. À l’image des Furtifs
d’Alain Damasio, elles ré-enchantent un lien rompu entre la terre,
l’autre et soi à travers un répertoire de formes revitalisées tantôt
attendrissantes, drôles ou repoussantes qui nous reconnectent à
l’énergie de la vie et aux saisons de la terre.

Pour Les
Vitrines de l’Institut Français de Berlin, le duo s’interroge sur le
rôle de la vitrine. Espace sacré, muséal, commercial, espace de
protection, de tentation, de conservation. Les réflexions d’AFFG
explorent la place d’un monde vivant mis sous cloche, privé de son
évolution naturelle. La scénographie imaginée questionne notre lien
sensoriel à l’heure de toutes les crises et dépoussière l’espace
traditionnel de la vitrine pour devenir le théâtre de nouvelles
fabulations.

Institut français Berlin

Kurfürstendamm

211

10719

Berlin

Appartenir – ou non ? Cette question suscite des sentiments forts, voire contradictoires. La citoyenneté concentre beaucoup de ces sentiments. C’est un statut juridique qui rassemble les gens et les sépare en même temps. Elle fonde une communauté nationale et politique, mais elle marque aussi une différence et une prééminence par rapport à ceux qui sont en dehors de la communauté. En raison de son lien avec l’État-nation moderne, la citoyenneté est devenue l’objet de luttes pour l’appartenance et la participation. Elle attribuait des droits aux services publics d’intérêt général et à la participation politique et déterminait qui, en tant que conscrit, devait mettre sa vie au service de l’État. La citoyenneté a ainsi contribué à la construction de représentations identitaires nationales et collectives et est devenue l’instrument central de la répartition des chances de vie et de survie dans les États européens des 19e et 20e siècles.

Avec l’exposition « Staatsbürgerschaften. France, Pologne, Allemagne depuis 1789 », le Deutsches Historisches Museum met en lumière, en passant du « long » 19e siècle à nos jours, le changement de signification et la force de mobilisation de la citoyenneté : elle s’est élevée au rang de forme dominante d’appartenance politique à l’époque de l’État-nation, a été utilisée par les dictatures comme instrument de sélection ethnique et politique et prend une nouvelle forme dans la citoyenneté européenne de l’Union européenne supranationale. C’est ce que montre l’exposition à travers trois pays européens : la France, la Pologne et l’Allemagne. En tant qu’États voisins, ils étaient et sont toujours liés de manière existentielle par des conflits aigus et une étroite coopération politique.